Audit et conseil en stratégie patrimoniale Gestion des fonds patrimoniaux Conservation préventive
Contexte
Le groupe Essilor plonge ses racines en 1849, lorsqu’est créée l’Association Fraternelle des Ouvriers Lunetiers dans le quartier du Marais à Paris. Elle devient rapidement la Société des Lunetiers, ou S.L., connue plus tard sous le nom d’Essel.
Dès 1861, elle intègre un savoir-faire verrier avec pour ambition d’être « parmi les principaux fabricants de verres correcteurs de Paris ».
En 1972, la fusion entre Essel et Silor donne naissance à Essilor, leader mondial de son secteur. En janvier 2017, le groupe annonce sa volonté de se rapprocher du groupe italien Luxottica.
La fusion s’achève en 2021 pour créer un acteur mondial de premier plan de l’industrie de l’optique ophtalmique et de la lunetterie.
Enjeux
À la veille de la finalisation du processus de fusion avec Luxottica, Essilor souhaite engager un grand chantier des collections afin de mettre son patrimoine au service de la marque et du groupe, et capitaliser ainsi sur une histoire industrielle riche de plus de 170 ans d’existence.
Arkhênum est mandatée en 2020 pour mieux connaître, sécuriser et valoriser son fonds patrimonial.
Essilor au cœur de l’innovation
Une (re)découverte des archives de la marque
170 ans d’histoire à révéler
Les archives du groupe Essilor sont une source précieuse d’informations sur l’évolution du groupe, l’histoire des techniques et des produits.
Richesse du fonds patrimonial Essilor
Ce patrimoine est constitué d’un fonds papier, d’un fonds photographique, d’un fonds audiovisuel et d’un fonds d’objets, constitué à la fois de PLV, d’outils et de machines, ainsi que de centaines de lunettes ou de compas.
Essilor au cœur de l’innovation
Depuis 1849, Essilor n’a cessé d’innover et d’explorer de nouveaux territoires techniques et commerciaux. Essel et Silor sont notamment à l’origine du verre progressif Varilux et du verre organique Orma, deux révolutions de l’optique ophtalmique du XXe siècle.
Les archives, témoins de cet esprit d’innovation
Les nombreux documents techniques présents dans le fonds sont là pour témoigner des innovations du groupe, dans le domaine de l’optique en général, et des verres en particulier.
Il s’agit d’un patrimoine très spécifique qui demande un œil aiguisé. La décision est prise de constituer un comité d’experts patrimoine qui travaillent main dans la main avec les équipes d’Arkhênum sur ce projet ambitieux afin de décrire avec précision des outils d’optique aujourd’hui disparus.
Préserver le passé, organiser le futur
En 2021 commence le traitement physique et intellectuel du fonds papier, d’environ 100 mètres linéaires, et du riche fonds d’objets, composé de plus de 7000 pièces, dont 300 instruments et outils scientifiques de vision et de précision, ainsi que d’un fonds de lunetterie (verres et lunettes) conséquent de plusieurs milliers de pièces.
Pour aborder ce projet d’envergure, Arkhênum réalise une mission d’audit, permettant d’effectuer un récolement du fonds et de mettre en place les procédures avec une réelle pertinence scientifique. Ce travail doit également prendre en compte l’import à venir dans une base de données interne, sujet stratégique ainsi intégré en amont du chantier dans la méthodologie.
Nos missions : Inspirer et pérenniser
Arkhênum intervient sur toute la chaîne de traitement du fonds patrimonial
Audit et récolement
Diagnostic et recommandations
Inventaire : dépoussiérage, dépollution, constat d’état, marquage, inventaire, reconditionnement.
Identification des pièces nécessitant une restauration
Sélection de pièces remarquables pour numérisation
TÉMOIGNAGE
« Nous avons trouvé chez Arkhênum un partenaire doté d’une vraie vision stratégique. »
« Le Groupe Essilor entend porter un regard renouvelé sur son patrimoine. Il s’est lancé dans un ambitieux chantier des collections et dans le renouvellement de ses outils de gestion patrimoniaux. Depuis les phases de conseil jusqu’au travail d’inventaire et de numérisation, nous avons trouvé chez Arkhênum un partenaire professionnel et pertinent, discret et efficace, capable de nous accompagner sur le long terme et doté d’une vraie vision stratégique, parfaitement en adéquation avec nos enjeux et nos exigences. »
Offres de numérisation patrimoniale Valorisation Web Numérisation sur site client
Contexte
L’Institut National d’Histoire de l’Art (INHA) a été créé en 2001 sous la forme d’un établissement public sous la tutelle conjointe des ministres chargés de l’enseignement supérieur, de la recherche et de la culture. L’Institut a pour mission de développer l’activité scientifique et de contribuer à la coopération scientifique internationale dans le domaine de l’histoire de l’art et du patrimoine.
Dans cette optique de diffusion des connaissances, la Bibliothèque de l’INHA-collections Jacques Doucet propose à la consultation, dans la salle Ovale du quadrilatère Richelieu à Paris, 1,4 million de documents de tous types.
Enjeux
C’est pour promouvoir ces fonds exceptionnels, mais aussi pour en faciliter la consultation et la conservation que la Bibliothèque de l’INHA s’est lancée dès 2002 dans la numérisation, et a mis en service une bibliothèque numérique en 2006.
Pour alimenter cettebibliothèque numérique, d’importants programmes de numérisation sont en cours (plusieurs centaines de recueils d’ornements, plusieurs milliers de catalogues de ventes d’oeuvres d’art, …).
C’est pourquoi une interface permettant une gestion simple de la mise en ligne et, pour les internautes, une recherche efficace et une consultation agréable, est indispensable.
L’INHA choisit Arkhênum pour mettre en avant ses collections
Bibliothèque numérique de l’INHA
L’Histoire de l’art à portée de clic
« Dès 2002-2003, nous avons mis en place un programme de numérisation de nos fonds. Nous avons sélectionné les documents à numériser en fonction de plusieurs critères et notamment leur intérêt pour la recherche en histoire de l’art et archéologie ainsi que leur rareté.Seule une petite partie de ces fonds a été numérisée pour le moment (922 245 images consultables en ligne, soit 27 334 documents environ). »
Expositions virtuelles
Cette fonctionnalité permet de mettre en avant visuellement une thématique donnée. Ainsi, chaque mois l’équipe de la bibliothèque valorise les dernières collections numérisées.
Bientôt 1 million d’images disponibles
Un enrichissement en continu des collections
Les campagnes de numérisation régulières depuis 2003 et leur mise en ligne en continu fidélisent les internautes. 35,84% des visiteurs reviennent sur le site de la bibliothèque numérique de l’Institut National de l’Histoire de l’Art. Elle n’a cessé de voir son trafic augmenter. 500 visiteurs s’y rendent en moyenne chaque jour et y restent plus de 4 minutes.
Grâce à l’efficacité du back-office de la bibliothèque numérique, l’INHA peut continuer à alimenter régulièrement et en toute autonomie sabibliothèque numérique.
Poursuite des campagnes de numérisation
Arkhênum numérise régulièrement dans ses ateliers ou au sein de l’établissement des collections de l’INHA : livres et estampes, autographes, dessins, photographies…
Les dernières fonctionnalités de partage
Le choix de Limb Gallery pour la bibliothèque numérique de l’INHA s’explique par les nombreusesfonctionnalités de visualisation et de consultationoffertes par cette solution. La fluidité du zoom et la possibilité de consulter et télécharger les imprimés en modes image et texte sont particulièrement plébiscités par les utilisateurs.
Par-delà l’aspect visuel, c’est la puissance de la solution (moteur de recherche avec auto-complétion et prévisualisation des résultats, facettes, murs d’images 3D, géo-référencement …) et les développements constants dont elle fait l’objet qui ont séduit l’INHA.
Gestion des fonds patrimoniaux Conservation préventive
Contexte
En 2021, le musée de Bretagne confie à Arkhênum la responsabilité de traiter son remarquable patrimoine, afin d’en assurer la pérennité et la diffusion.
Dans le cadre de son projet de sauvegarde du patrimoine, le musée de Bretagne lance un chantier des collections de son fonds photographique, riche de plus de 500 000 références. Ces archives se composent de négatifs et de positifs sur plaque de verre ou supports souples (nitrate de cellulose, acétate de cellulose), de diapositives et de tirages papier.
Enjeux
Parmi les collections du fonds photographique, les plus anciennes remontent à la fin du XIXèmesiècle. Certains items, plus sensibles que d’autres à l’œuvre du temps, nécessitent une manipulation et un traitement adaptés aux fonds fragiles.
Par ailleurs, de nombreux supports en nitrate de cellulose, matériau peu stable et potentiellement nocif sur le plan sanitaire, présentent un risque de dégradation imprévisible et imposent des conditions de stockage délicates en raison de leur haute inflammabilité. La prise en charge de ce type de fonds, fragile et potentiellement dangereux, constitue une priorité absolue pour l’institution bretonne, aussi bien sur le plan sécuritaire qu’à titre de conservation.
Officiellement inauguré en octobre 1805, en tant que musée de Rennes, le musée de Bretagne s’installe dès 2006 au sein du complexe culturel des Champs Libres, dans le centre de Rennes.
Introduction
500 000 références à traiter
Attention ! Fragile, toxique et inflammable
Pour intervenir sur ce fonds photographique, Arkhênum constitue une équipe de 4 archivistes iconographes et mobilise des experts de la conservation préventive pour la formation de ses équipes. Dans un premier temps, l’équipe procède méticuleusement au dépoussiérage et au reconditionnement des collections avant de les envoyer en numérisation.
S’en suit la phase d’inventaire, au cours de laquelle pour chaque item est saisie ou vérifiée une notice dans l’outil de gestion documentaire du musée, Flora. Après numérisation, les notices dotées d’images sont enrichies de métadonnées et indexées, afin d’être consultables en ligne, sur le portail des collections du musée, Des collections en partage.
L’ultime chantier des collections à mener
Ce chantier des fonds photographiques clôture une démarche de récolement, d’inventaire et de numérisation des collections en nombre, initiée en 2016 par le musée de Bretagne. Il s’agit en effet du second et dernier chantier externalisé de cette envergure restant à mener par le musée, après celui des collections d’arts graphiques et documents papier.
TÉMOIGNAGE
«Des découvertes très prometteuses pour le patrimoine photographique de la Bretagne.»
« L’externalisation de ce chantier s’est imposée en raison des nécessités de conservation préventive (sauvegarde de fonds photographiques, en particulier les négatifs sur supports souples en nitrate de cellulose), des obligations règlementaires du récolement décennal (traitement d’un volume de collections très important) et des perspectives de valorisation qui sont désormais déployées depuis 2017 grâce au projet « Des collections en partage » (mise à disposition des collections numérisées selon un principe d’ouverture maximale des droits liés aux images). La chaîne opératoire mise en place avec l’équipe de la société Arkhênum nous permet d’avancer significativement aujourd’hui sur ces trois volets, avec des découvertes (et redécouvertes) très prometteuses pour le patrimoine photographique de la Bretagne. »
Manon Six, Conservatrice du patrimoine en charge du pôle des collections.
Faire rayonner la Bretagne en ouvrant une fenêtre sur le monde. Telle est l’ambition du musée en alimentant régulièrement son portail de nouveaux contenus inédits.
Institut polaire français Paul-Emile-Victor (IPEV)
Expertises en oeuvre
Gestion des fonds patrimoniaux Offres de numérisation patrimoniale Valorisation Web (Re)constitution des collections
Contexte
L’Institut polaire français Paul-Émile-Victor est un organisme public chargé de la mise en œuvre de la recherche française dans les régions polaires. Il poursuit la mission lancée en 1947 par Paul-Émile Victor avec les Expéditions polaires françaises.
Grâce à son savoir-faire et aux plateformes scientifiques déployées, l’Institut polaire français contribue à mettre en valeur les pôles et favorise la sensibilisation du public aux problématiques propres à ces régions. Aude Sonneville, responsable Communication de l’Institut polaire français, lance avec les TAAF et les EPF en 2017 le projet Archipôles pour donner une meilleure visibilité à l’Héritage unique que constitue l’ensemble des archives polaires françaises.
Enjeux
Voyageant depuis plus de 200 ans dans les régions de hautes latitudes, l’histoire polaire s’écrit à travers toutes les productions des scientifiques, explorateurs, logisticiens… qui ont sillonné ces contrées. La recherche polaire étant portée par de multiples organismes, les partenaires du projet Archipôles ont voulu préserver les archives de cette aventure humaine et scientifique. Pour mener à bien cet objectif, il a fallu analyser les archives, les préserver des atteintes du temps mais aussi les numériser puis les valoriser en ligne pour partager cet héritage.
L’histoire polaire, un patrimoine d’intérêt général
L’institut polaire lance le Gallica de la recherche polaire française
Dès 2017, l’Institut fait appel à l’expertise d’Arkhênum pour mettre en place ce projet pluriannuel qui ambitionne d’offrirau public une plateforme digitale unique pour découvrir l’histoire polaire française.A l’issue d’une première mission de numérisation, les équipes d’Arkhênum ont entrepris la mise en place de labibliothèque numérique Archipôles. Conçue sur mesure, elle est dotée d’une série d’outils développés pour faciliter l’accès aux fonds documentaires.
Ce nouvel outil de recherche est dès sa sortie salué et relayé par les médias (presse papier et Internet, médias audiovisuels). Suite à son lancement, de nombreuses demandes de réutilisation des images parviennent à l’Institut polaire pour illustrer des ouvrages, films ou bien alimenter des recherches familiales. Des personnes se manifestent aussi pour apporter de nouvelles informations, des éclairages ou des corrections sur ces archives qui ainsi s’enrichissent au fur et à mesure des nouveaux témoignages.
Archipôles, une fenêtre sur la vie aux pôles
Lancée en 2018, cette bibliothèque numérique mise en place par Arkhênum va permettre de mieux comprendre la vie sur place des saisonniers et hivernants mais aussi l’impact du réchauffement climatique sur les pôles.
Lesite Archipôlesbénéficie des dernières technologies (IIIF, SRU…) qui lui permettent de compléter ses collections en regroupant virtuellement sur son site des archives en provenance de Gallica ou encore de la Cinémathèque de Bretagne.
Des fonctionnalités telles que la visionneuse permettent d’étudier les moindres détails des photographies ou même de cartes topographiques (plus de 1 000 cartes toujours utilisées à ce jour).
Une base de données ouverte
Archipôles, un projet collaboratif
Le site Archipôles s’enrichit de campagnes de numérisation menées par Arkhênum portant sur les collections de l’Institut polaire mais aussi des projets des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF) ainsi que des Expéditions polaires françaises Missions Paul-Emile Victor.
Ces campagnes de numérisation vont concerner des typologies variées de documents : photographies, publications internes, cartes et plans ou encore des diapositives.
Audit, numérisation, intégration
Arkhênum apporte son expertise au projet sur l’ensemble de la chaîne de valeur du document.
Le fonds cartographique, riche de 5000 cartes, a ainsi été inventorié, reconditionné puis numérisé. Suite à la digitalisation des fonds avec intégration de métadonnées, il sont intégrés sur Archipôles. C’est également le cas du fonds Corbel, composé notamment de diapositives.
Un projet tourné vers l’avenir
L’Institut polaire français souhaite égalementpréserver et mettre en ligne des fonds liés à son histoire en tant qu’institut, et notamment ceux dédiés à la construction en 1956 des bâtiments de la station historique française Dumont d’Urville.
Nous réalisons donc une mission de recherche historique sur l’histoire institutionnelle de l’IPEV, permettant de créer un corpus historique détaillé revenant sur les grandes dates fondatrices, les personnages clés, le bâti en terre Adélie, mais également sur les évolutions de statuts. Ce projet doit permettre de constituer un fonds d’archives dédié, de faire des entretiens avec les personnes mémoires de l’IPEV, et de bénéficier d’une source exhaustive sur l’histoire de l’IPEV.
Autre projet porté par les TAAF, l’intégration future dans Archipôles demodélisations en 3D de site et mobilier historiquespour enrichir le volet « Mobilier » de la bibliothèque numérique. Mais les projets ne s’arrêtent pas là nous dit Aude Sonneville.
TÉMOIGNAGE
«Le site, lancé en 2018, a déjà 4 ans d’existence et son contenu s’est extrêmement enrichi depuis.»
« Par-delà les contenus du site, nous voulons aussi en 2022 nous attacher à améliorer encore la qualité du site en affinant par exemple nos mots-clés pour optimiser le référencement naturel du site Archipôles. D’autre part le site, lancé en 2018, a déjà 4 ans d’existence et son contenu s’est extrêmement enrichi depuis. Nous voulons que l’interface graphique du site reflète ces évolutions, raison pour laquelle nous souhaitons faire évoluer son design graphique. »
Aude Sonneville Responsable du département Communication de l’IPEV
Offres de numérisation patrimoniale Valorisation Web Numérisation sur site client
Contexte
La société Sfate & Combier est depuis 1850 l’un des fournisseurs de tissus de référence pour le marché de la Haute couture, des créateurs et du Prêt à Porter
haut de gamme.
Le savoir-faire et la modernité de la société sont aux cœurs des préoccupations de la direction. C’est à ce titre qu’elle a souhaité lancer un projet ambitieux visant à mettre à disposition pour ses différents collaborateurs en temps réel et 24h/24, 7j/7 l’ensemble des créations de la société.
Grâce à cette politique ambitieuse, Sfate & Combier souhaite se doter d’une base de données fédérée qui permettrait aux collaborateurs de gagner du temps et donc d’être plus efficaces.
Enjeux
Le lancement de l’outil avec une première partie des archive, était souhaité pour février 2019 lors du salon Première Vision à Paris, l’événement incontournable des matières et services à destination de la mode mondiale.
Avant d’en arriver là, différentes étapes ont été nécessaires dont la caractérisation des collections et l’établissement d’un thésaurus qui ont nécessité des profils d’intervenants complémentaires.
Cette préparation des collections a permis de dresser chez le client avec les tissus en main l’inventaire précis au format excel des échantillons sélectionnés pour la numérisation.
Capitaliser sur la richesse de sa création
Caractériser les archives textiles avant de les numériser
Les archives textiles de la société recensent tout l’historique de créativité de la société depuis ses origines.
Ce savoir-faire n’avait pas encore été décrit sur support numérique pour permettre une recherche en base. La préparation des échantillons de tissus préalable à la numérisation a été réalisée par Sandrine Bachelier, une consultante spécialiste du textile.
L’opération de numérisation a ensuite été réalisée par Arkhênum dans les locaux de Sfate & Combier pour garantir une disponibilité à tout moment des documents. C’est donc un atelier complet de numérisation de documents grands formats qui est déployé.
Les archives, sources d’inspiration ou de réinterprétation
L’entreprise possède plusieurs milliers d’archives textiles et papier du XVIIIe siècle à nos jours. Ces archives servent de base d’inspiration (tant matière que motif) pour les clients et les stylistes de l’entreprise.
1 000 nouvelles créations chaque année
Une base de données métier dans une simple tablette tactile
La réussite du projet va aussi dépendre de la bonne définition de l’usage de l’outil et des attentes utilisateurs.
L’équipe logicielle Arkhênum dans le cadre de son audit a identifié les différentes typologies d’utilisateurs, leurs attentes et les usages futurs pour dimensionner l’outil à mettre en place.
L’adhésion à cet outil de travail passait aussi par l’intégration d’un thésaurus métier défini par la consultante et validé avec les futurs utilisateurs. Preuve de cette adéquation au besoin et de sa prise en main intuitive, le témoignage d’un commercial qui atteste que « C’est comme si on faisait des courses sur Internet en mettant nos choixdans un panier».
Un outil conçu sur mesure
Les archives et collections sont maintenant référencées et accessibles en version numérique pour être mises à disposition des équipes et des clients. En externe, la force commerciale est en capacité de répondre encore plus rapidement à ses clients et ainsi se démarquer de la concurrence.
Un outil de travail collaboratif et évolutif
Suite au lancement de l’outil, les résultats sont là : gain de temps au quotidien pour les différents collaborateurs, échanges d’informations avec le partage d’images et/ou descriptif du tissu et enfin la préservation des originaux dont la manipulation, toujours nécessaire, est limitée.
L’autre intérêt de la solution est que les collaborateurs de Sfate & Combier peuvent administrer et enrichir en toute autonomie l’outil. La base de données est amenée à s’enrichir d’année en année de nouveaux contenus avec 1 000 nouvelles créations de tissus par an et par les archives plus anciennes, notamment les albums d’échantillons, venant enrichir l’offre et le savoir-faire de la société.